Témoignages de Faits et d'Engins Extraterrestres

Tour d'Horizon

Astronaute Edgar Mitchell
mai 1998

En février 1971 l'astronaute Edgar Mitchell effectua un vol sur Apollo 14 a fut le sixième homme à poser le pied sur la Lune. Dans son témoignage, il reconnût le fait que des visites extraterrestres furent effectuées sur la Terre aussi bien que des vaisseaux accidentés ou des découvertes d'outils ou de corps. Il parla aussi de la dissimulation qui a entouré le sujet depuis plus de cinquante ans et le manque d'attention et de contrôle visible du gouvernement. Il est préoccupé par notre intendance de cette Terre et voit comme une vérité notre crise environnementale croissante.

Monseigneur Corrado Balducci
septembre 2000

Monseigneur Balducci est un théologien membre du Vatican et proche du Pape. Il est apparu un grand nombre de fois sur la télévision nationale italienne, déclarant que les contacts avec des extraterrestres sont une réalité, et non pas un phénomène que l'on pourrait imputer à la détérioration du psychisme de certains infdividus. Il témoigne et explique que ce phénomène est de plus en plus accepté en tant que réalité, non seulement par la populace mais par des personnes cultivées, érudites et crédibles à tous points de vue. Il a l'habitude de présenter les extraterrestres comme des êtres qui font partie de la Création divine et qui ne sont ni des anges ni des démons, bien qu'ils soient probablement d'une essence spirituelle plus évoluée que la nôtre.


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Memorandum

De: CIA - Bureau du Directeur - Washington, D.C.
A: Directeur du "Psychological Strategy Board" (Conseil de Stratégie Psychologique)
Sujet: Soucoupes Volantes

1. Je transmets aujourd'hui au National Security Council (Conseil de Sécurité Nationale) une proposition (TAB A) dans laquelle il est conclut que les problèmes rencontrés avec des objets volants non-identifiés semblent avoir des implications pour une guerre psychologique ainsi que pour les services de renseignements et les opérations.

2. Les informations concernant cette opinion sont présentées en détail dans le TAB B.

3. Je suggère que nous discutions, à une prochaine réunion du Conseil, la possible utilisation offensive ou défensive de ces phénomènes à des fins de guerre psychologique.

Signé: Walter B. Smith - Directeur


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Memorandum à l'attention du Directeur de la Central Intelligence (Service de Renseignements)

Envoyé à l'Adjoint du Directeur de la Central Intelligence
Sujet: Objets Volants Non Identifiés
Date: février 1952

1. Le 20 août, la DCI, après un briefing par la OSI sur le sujet susmentionné, a dirigé la préparation d'une NCSID devant être soumise au Conseil relatant le besoin d'effectuer une enquête et d'ordonner aux agences concernées de coopérer dans de telles enquêtes.

2. Dans la tentative de rédiger une telle directive et les études pour les membres du personnel, il est devenu évident à DD/I, AD/SI en fonction et AD/IC, que le problème était plus largement un problème de recherche et développement, et il a été décidé par DD/I d'essayer d'initier une action à travers le Conseil de Recherche et Développement (CR&D). Une conférence a été tenue entre DI/USAF, le Président du CR&D, le DD/I, AD/SI en fonction et AD/IC, à laquelle il a été décidé que le Dr. Whitman, Président du CR&D, enquêterait sur la possibilité d'entreprendre des études de recherche et développement à travers les agences de l'Air Force.

3. Le 6 novembre approximativement, nous avons été avisé par le Président du CR&D que les requêtes auprès des membres du personnel de l'Air Force n'ont pas révélés de faits "non fondés" concernant cette affaire, mais que ces requêtes avaient été soumises à l'Air Defense Command. Nous n'avons reçu aucun message supplémentaire de la part du CR&D.

4. Des rapports récents adressés à la CIA indiquent qu'une action supplémentaire était souhaitée et qu'un autre briefing avait eu lieu le 25 novembre entre les membres du personnel de A-2 et ATIC ayant connaissance de l'affaire. A ce moment-là, les rapports des incidents nous convainquent que quelque-chose est en train de se passer et que cela mérite tout notre attention. Les détails de certains de ces incidents ont été sujets à discussion entre AD/SI et DDCI. Des observations d'objets inexpliqués à hautes altitudes et se déplaçant à de très grandes vitesses dans le voisinage des plus importantes installations de défense américaine sont d'une telle nature qu'ils ne peuvent pas être attribués à des phénomènes naturels ou à des types connus de véhicules aériens.

5. OSI procède pour l'instant à la constitution d'un groupe de consultation suffisamment compétent et reconnu afin de réétudier cette affaire et de convaincre les autorités responsables dans la communauté que des études de recherche et développement sur le sujet doivent êtres entreprises. Ceci peut être fait rapidement sous la tutelle de CENIS.

6. Ci-joint vous trouverez un essai de memorandum adressé au NSC (National Security Council - Conseil National de Sécurité) et une simple directive du NSC établissant cette affaire comme étant un projet prioritaire dans toute la communauté des renseignements, de la recherche et du développement de la défense.

Signé: H. Marshall Caldwell - Adjoint au Directeur de la Scientific Intelligence


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Date: 29 juillet 1952
A: Mr. A.H.H. MONT
De: V.P. KEAY
Sujet: Soucoupes Volantes

OBJECTIF

Informer que l'Air Force a, pour l'instant, échoué dans le fait d'arriver à une conclusion satisfaisante dans sa recherche à propos des nombreux rapports de soucoupes volantes et disques volants aperçus à travers tous les Etats-Unis.

DETAILS

Mr. N.W. Philcox, Représentant du Bureau de Liaison de l'Air Force, a conclut des arrangements à travers le bureau du Major Général John A. Samford, Directeur de l'Air Intelligence, US Air Force, afin de recevoir un briefing du Commandant Randall Boy de la Current Intelligence Branch, Division "Evaluation', Air Intelligence, concernant le statut actuel de la recherche au sujet de l'Air Intelligence sur les nombreux rapports se rapportant aux soucoupes volantes et disques volants.

Le Commandant Boyd relata que l'Air Intelligence avait installé à la Base Air Force de Wright Patterson, Ohio, le Centre Technique de l'Air Intelligence, qui a été établi dans le but de coordonner, corréler et faire des recherches sur tous les rapports concernant les soucoupes et disques volants. Il mentionna que la recherche l'Air Force a indiqué que les observations de soucoupes volantes se font depuis plusieurs siècles et que le nombre d'observations rapportées varient selon la quantité de publicité faite autour. Il déclara que si l'observation est publiée dans les journaux, immédiatement le nombre d'observations rapportées augmente considérablement et que les citoyens appellent immédiatement et témoignent d'observations qu'ils ont eues plusieurs mois auparavant. Le Commandant Boyd précisa que ces observations rapportées de soucoupes volantes sont triées selon trois classifications:

1. Ces observations qui sont rapportées par des citoyens qui clament avoir vu, depuis le sol, des soucoupes volantes. Ces observations varient dans leur description, couleur et vitesse. Peu de créance est apportée à ces déclarations, qui sont pour certaines, voire toutes, dues à l'imagination ou encore à un quelconque objet ayant traversé le ciel.

2. Observations rapportées par des pilotes commerciaux ou militaires. Celles-ci sont considérées comme plus crédibles par l'Air Force dans la mesure où les pilotes commerciaux et militaires sont expérimentés dans l'aéronautique et ne sont pas supposés voir des objets qui sont totalement imaginaires. Dans chacun de ces cas, l'individu qui rapporte l'observation est interviewé en profondeur par un représentant de l'Air Intelligence si bien qu'une complète description de l'objet observé peut être obtenue.

3. Ces observations qui sont rapportées par des pilotes et pour lesquelles il y a une corroboration additionnelle, tel qu'un enregistrement radar ou observation depuis le sol. Le Commandant Boyd déclara que cette dernière classification constitue 2 ou 3 % du nombre total d'observations, mais que ce sont les rapports les plus crédibles et les plus difficiles à expliquer. Certaines de ces observations sont d'abord effectuées à partir du sol, ensuite sont observées par des pilotes en vol et alors sont prises en chasse par des radars. Il mentionna que dans ces cas, il n'y a aucun doute que les individus rapportent les observations qu'ils ont effectivement eues dans le ciel. Cependant, il expliqua que ces objets pourraient quand même être des phénomènes naturels et être enregistrés sur radar si il y avait une quelconque discordance électrique dans le ciel.

Il déclara que les soucoupes volantes sont plus fréquemment observées dans des zones où il y a un trafic aérien dense, comme Washington D.C. et New York City. Il mentionna, cependant, que quelques rapports proviennent d'autres parties du pays, voir le territoire entier des Etats-Unis et que des observations ont aussi été rapportées en provenance de lieux éloignées tels que Acapulco, Mexico, Corée et Maroc Français. Il raconta que les observations mentionnées dans la dernière classification n'ont jamais été expliquées de manière satisfaisante. Il a précisé, néanmoins, qu'il était toujours possible que ces objets soient des phénomènes naturels ou quelque type de perturbations atmosphériques. Il déclara qu'il n'était pas tout à fait impossible que les objets aperçus puissent êtres des vaisseaux d'une autre planète, comme Mars. Il dit que jusqu'à présent il n'existe rien pour accréditer cette théorie mais la possibilité n'est pas mise de côté. Il mentionna que l'Air Intelligence est pratiquement certaine que ces objets ne sont pas des vaisseaux ou des missiles en provenance d'autre nation de ce monde. Le Commandant Boyd déclara qu'une enquête intensive est en ce moment-même menée par l'Air Intelligence et que jusqu'à présent quand des observations crédibles sont reçues, l'Air Force tente à chaque fois de lancer un jet d'interception afin d'obtenir une meilleure vision de ces objets. Cependant, de récentes tentatives dans cette voie ont indiqué que quand le pilote du jet approche de l'objet, celui-ci disparaît de sa vue.

RECOMMANDATION:

Aucune. Ce qui précède est pour votre information.


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Memorandum pour le Directeur de la Central Intelligence
Envoyé à l'Adjoint du Directeur
Sujet: Soucoupes volantes
Date: 24 Septembre 1952

1. Récemment, une enquête à été menée par le Bureau de l'Intelligence Scientifique afin de déterminer si il y avait des implications de sécurité nationale concernant le problème des "objets volants non-identifiés", à savoir les soucoupes volantes; si une étude adéquate et une recherche étaient en cours sur le sujet ayant pour sujet la relation de celui-ci avec des implications sur la sécurité nationale; et quelles enquêtes et recherches ultérieures devraient être effectuées, par qui et sous quelle égide.

2. Il a été découvert que la seule unité du Gouvernement actuellement à l'étude de ce problème est le Directoire de l'Intelligence, USAF, qui a chargé le Centre Technique de l'Air Intelligence (ATIC) d'effectuer des enquêtes sur les rapports d'observations. A l'ATIC, il y a un groupe de 3 officiers et 2 secrétaires chez qui arrivent, à travers les réseaux officiels, tous les rapports d'observations. Ce groupe conduit l'enquête sur les rapports en consultation avec des membres du personnel technique de l'Air Force et du civil, comme il avait été demandé. Un système mondial de rapport a été institué et certaines des plus importantes bases de l'Air Force ont été ordonnées d'intercepter des objets volants non identifiés. l'enquête est menée au cas-par-cas et est destinée à produire une explication satisfaisante de chaque observation individuelle. l'ATIC a conclut un accord avec le Battelle Memorial Institute afin que ce dernier puisse créer une machine au système indexant les rapports officiels d'observations.

3. Depuis 1947, l'ATIC a reçu approximativement 1500 rapports officiels d'observations ainsi qu'un énorme volume de lettres, appels téléphoniques et articles de presse. Pendant le seul mois de juillet 1952, un total de 250 rapports officiels a été recensé. Sur les 1500 rapports, l'Air Force compte 20% de faits non-expliqués et sur ceux reçus entre janvier et juillet 1952 il y a 26% de cas non-expliqués.

4. Dans son enquête sur le problème, une équipe du Bureau de l'Intelligence Scientifique de la CIA a consulté un représentant du Groupe d'Etudes Speciales de l'Air Force; discuté avec les personnes en charge du Projet Air Force à la Base de l'Air Force de Wright-Patterson; revu un volume considérable de rapports de renseignements; vérifié avec la presse Soviétique et les services de diffusion; et a discuté avec trois consultants de la CIA qui ont des connaissances larges des domaines techniques concernés.

5. Il a été conclut que l'étude de l'ATIC est probablement valide si le sujet est limité à une explication au cas-par-cas. Cependant, cette étude ne résout pas les aspects les plus fondamentaux du problème. Ces aspects doivent déterminer définitivement les phénomènes variés qui sont à l'origine de ces observations et découvrir les moyens par lesquels celles-ci sont produites, et leurs effets visuels ou électroniques, peuvent être identifiés immédiatement. Les consultants de la CIA ont déclaré que ces solutions seraient probablement trouvées aux limites ou juste au-delà de nos connaissances actuelles concernant les phénomènes atmosphériques, ionosphériques et extraterrestres, avec la possibilité supplémentaire du fait que la dispersion actuelle de déchets nucléaires puisse aussi être un facteur. Ils recommandèrent qu'un groupe d'étude soit formé afin de remplir ces trois fonctions:

  a. analyser et systématiser les facteurs qui constituent le problème fondamental;

  b. déterminer les domaines fondamentaux de la science qui doivent être approfondis afin de rechercher une compréhension du phénomène impliqué; et

  c. faire des recommandations sur le début d'une recherche appropriée.

Le Dr. Julius A. Stratton, Vice Président du Massachussetts Institute of Technology, a indiqué à la CIA qu'un groupe pourrait être créé à l'Institut. Similairement, le Projet Lincoln, projet au ITT de défense aérienne de l'Air Force, pourrait être mené avec le même sens des responsabilités.

6. Le sujet des soucoupes volantes contient deux éléments dangereux qui, dans une situation de tension internationale, pourrait avoir des implications sur la sécurité nationale. Ces éléments sont:

  a. Psychologique - Avec l'aide des rapports d'observations à travers le monde entier, il a été prouvé que, pendant le temps de l'enquête, il n'y a eu dans la presse Soviétique aucun rapport ou commentaire, même satirique, de soucoupes volantes; bien que Gremyko ait fait une mention humoristique sur le sujet. Avec une presse contrôlée par l'Etat, ceci ne peut résulter que d'une décision politique officielle. La question est dès lors de savoir si oui ou non les observations:

  (1) peuvent être contrôlées
  (2) peuvent être prévues, et
  (3) peuvent être utilisées, dans le cas d'une guerre
      psychologique, offensivement ou défensivement.

L'intérêt public pour le phénomène, qui est confirmé dans la presse américaine et dans la pression sur l'Air Force pour obtenir une enquête, indique qu'une proportion non négligeable de notre population est mentalement conditionnée à l'acceptation de l'incroyable. Dans ce fait réside le potentiel pour le déclenchement d'une hystérie et d'une panique massive.

  b. Vulnérabilité aérienne - Le Système d'Alerte Aérienne des Etats-Unis dépendra inévitablement et toujours d'une combinaison de suivis radars et d'observations visuelles. l'U.R.S.S. est considérée comme étant actuellement capable de lancer une attaque aérienne sur les Etats-Unis, à n'importe quel moment; il peut y avoir des douzaines d'observations officielles ainsi que plusieurs observations non-officielles. A n'importe quel moment de l'attaque, nous sommes à l'heure actuelle incapable de distinguer instantanément une réelle arme ou un leurre, et alors que la tension monte, nous prenons le risque croissant de subir de fausses alertes et même de prendre une attaque réelle pour un leurre.

7. Chacun de ces problèmes sont par essence opérationnels et présentent des facteurs flagrants d'intelligence.

8. d'un point de vue opérationnel, les actions suivantes sont requises:

  a. Des actions immédiates devraient être prises afin d'améliorer l'identification autant visuelle qu'électronique des leurres pour que, en cas d'attaque, une identification instantanée et positive d'avions ou missiles ennemis puisse être faite.

  b. Une étude doit être menée afin de déterminer quelle utilisation, si il en existe, pourrait être donnée par les organisateurs américains d'une guerre psychologique à partir de ces phénomènes et quelles défenses, si il en existe, devraient être organisées afin d'anticiper des éventuelles tentatives soviétiques d'utilisation de ces phénomènes.

  c. Afin de minimiser le risque de panique, une politique nationale devrait être établie concernant ce qui devait être dit au public à propos de ces phénomènes.

9. d'autres problèmes de renseignements qui requièrent approfondissement:

  a. Le niveau actuelle de connaissance des soviétiques à propos de ces phénomènes.

  b. Des possibles intentions et capacités des soviétiques d'utiliser ces phénomènes au dépend des intérêts américains.

  c. La raison du silence dans la presse soviétique concernant les soucoupes volantes.

10. Une recherche supplémentaire, différente de celle menée par l'Air Force en ce qui concerne son sens et sa particularité, sera nécessaire afin de satisfaire les besoins opérationnels et de renseignements. Les responsabilités de l'Intelligence, dans cette enquête concernant le rassemblement et l'analyse des faits, ne pourront être déchargées qu'après avoir déterminé d'une manière exacte la nature des phénomènes.

11. Je considère ce problème d'une telle importance qu'il devrait être mentionné au Conseil National de Sécurité afin qu'une action à travers tous les membres de la communauté soit entreprise.

Signé E. MARSHALL CHADWELL - Assistant du Directeur de la Scientific Intelligence