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Témoignages de Faits et d'Engins Extraterrestres Tour d'Horizon
Astronaute Edgar Mitchell
En février 1971 l'astronaute Edgar Mitchell effectua un vol sur Apollo 14 a fut le sixième homme à poser le pied sur la Lune. Dans son témoignage, il reconnût le fait que des visites extraterrestres furent effectuées sur la Terre aussi bien que des vaisseaux accidentés ou des découvertes d'outils ou de corps. Il parla aussi de la dissimulation qui a entouré le sujet depuis plus de cinquante ans et le manque d'attention et de contrôle visible du gouvernement. Il est préoccupé par notre intendance de cette Terre et voit comme une vérité notre crise environnementale croissante.
Monseigneur Corrado Balducci
Monseigneur Balducci est un théologien membre du Vatican et proche du Pape. Il est apparu un grand nombre de fois sur la télévision nationale italienne, déclarant que les contacts avec des extraterrestres sont une réalité, et non pas un phénomène que l'on pourrait imputer à la détérioration du psychisme de certains infdividus. Il témoigne et explique que ce phénomène est de plus en plus accepté en tant que réalité, non seulement par la populace mais par des personnes cultivées, érudites et crédibles à tous points de vue. Il a l'habitude de présenter les extraterrestres comme des êtres qui font partie de la Création divine et qui ne sont ni des anges ni des démons, bien qu'ils soient probablement d'une essence spirituelle plus évoluée que la nôtre. Document
Memorandum
Document
Memorandum à l'attention du Directeur de la Central Intelligence (Service de Renseignements)
Document
Date: 29 juillet 1952
Document Memorandum pour le Directeur de la Central IntelligenceEnvoyé à l'Adjoint du Directeur Sujet: Soucoupes volantes Date: 24 Septembre 1952 1. Récemment, une enquête à été menée par le Bureau de l'Intelligence Scientifique afin de déterminer si il y avait des implications de sécurité nationale concernant le problème des "objets volants non-identifiés", à savoir les soucoupes volantes; si une étude adéquate et une recherche étaient en cours sur le sujet ayant pour sujet la relation de celui-ci avec des implications sur la sécurité nationale; et quelles enquêtes et recherches ultérieures devraient être effectuées, par qui et sous quelle égide. 2. Il a été découvert que la seule unité du Gouvernement actuellement à l'étude de ce problème est le Directoire de l'Intelligence, USAF, qui a chargé le Centre Technique de l'Air Intelligence (ATIC) d'effectuer des enquêtes sur les rapports d'observations. A l'ATIC, il y a un groupe de 3 officiers et 2 secrétaires chez qui arrivent, à travers les réseaux officiels, tous les rapports d'observations. Ce groupe conduit l'enquête sur les rapports en consultation avec des membres du personnel technique de l'Air Force et du civil, comme il avait été demandé. Un système mondial de rapport a été institué et certaines des plus importantes bases de l'Air Force ont été ordonnées d'intercepter des objets volants non identifiés. l'enquête est menée au cas-par-cas et est destinée à produire une explication satisfaisante de chaque observation individuelle. l'ATIC a conclut un accord avec le Battelle Memorial Institute afin que ce dernier puisse créer une machine au système indexant les rapports officiels d'observations. 3. Depuis 1947, l'ATIC a reçu approximativement 1500 rapports officiels d'observations ainsi qu'un énorme volume de lettres, appels téléphoniques et articles de presse. Pendant le seul mois de juillet 1952, un total de 250 rapports officiels a été recensé. Sur les 1500 rapports, l'Air Force compte 20% de faits non-expliqués et sur ceux reçus entre janvier et juillet 1952 il y a 26% de cas non-expliqués. 4. Dans son enquête sur le problème, une équipe du Bureau de l'Intelligence Scientifique de la CIA a consulté un représentant du Groupe d'Etudes Speciales de l'Air Force; discuté avec les personnes en charge du Projet Air Force à la Base de l'Air Force de Wright-Patterson; revu un volume considérable de rapports de renseignements; vérifié avec la presse Soviétique et les services de diffusion; et a discuté avec trois consultants de la CIA qui ont des connaissances larges des domaines techniques concernés. 5. Il a été conclut que l'étude de l'ATIC est probablement valide si le sujet est limité à une explication au cas-par-cas. Cependant, cette étude ne résout pas les aspects les plus fondamentaux du problème. Ces aspects doivent déterminer définitivement les phénomènes variés qui sont à l'origine de ces observations et découvrir les moyens par lesquels celles-ci sont produites, et leurs effets visuels ou électroniques, peuvent être identifiés immédiatement. Les consultants de la CIA ont déclaré que ces solutions seraient probablement trouvées aux limites ou juste au-delà de nos connaissances actuelles concernant les phénomènes atmosphériques, ionosphériques et extraterrestres, avec la possibilité supplémentaire du fait que la dispersion actuelle de déchets nucléaires puisse aussi être un facteur. Ils recommandèrent qu'un groupe d'étude soit formé afin de remplir ces trois fonctions: a. analyser et systématiser les facteurs qui constituent le problème fondamental; b. déterminer les domaines fondamentaux de la science qui doivent être approfondis afin de rechercher une compréhension du phénomène impliqué; et c. faire des recommandations sur le début d'une recherche appropriée. Le Dr. Julius A. Stratton, Vice Président du Massachussetts Institute of Technology, a indiqué à la CIA qu'un groupe pourrait être créé à l'Institut. Similairement, le Projet Lincoln, projet au ITT de défense aérienne de l'Air Force, pourrait être mené avec le même sens des responsabilités. 6. Le sujet des soucoupes volantes contient deux éléments dangereux qui, dans une situation de tension internationale, pourrait avoir des implications sur la sécurité nationale. Ces éléments sont: a. Psychologique - Avec l'aide des rapports d'observations à travers le monde entier, il a été prouvé que, pendant le temps de l'enquête, il n'y a eu dans la presse Soviétique aucun rapport ou commentaire, même satirique, de soucoupes volantes; bien que Gremyko ait fait une mention humoristique sur le sujet. Avec une presse contrôlée par l'Etat, ceci ne peut résulter que d'une décision politique officielle. La question est dès lors de savoir si oui ou non les observations: (1) peuvent être contrôlées (2) peuvent être prévues, et (3) peuvent être utilisées, dans le cas d'une guerre psychologique, offensivement ou défensivement. L'intérêt public pour le phénomène, qui est confirmé dans la presse américaine et dans la pression sur l'Air Force pour obtenir une enquête, indique qu'une proportion non négligeable de notre population est mentalement conditionnée à l'acceptation de l'incroyable. Dans ce fait réside le potentiel pour le déclenchement d'une hystérie et d'une panique massive. b. Vulnérabilité aérienne - Le Système d'Alerte Aérienne des Etats-Unis dépendra inévitablement et toujours d'une combinaison de suivis radars et d'observations visuelles. l'U.R.S.S. est considérée comme étant actuellement capable de lancer une attaque aérienne sur les Etats-Unis, à n'importe quel moment; il peut y avoir des douzaines d'observations officielles ainsi que plusieurs observations non-officielles. A n'importe quel moment de l'attaque, nous sommes à l'heure actuelle incapable de distinguer instantanément une réelle arme ou un leurre, et alors que la tension monte, nous prenons le risque croissant de subir de fausses alertes et même de prendre une attaque réelle pour un leurre. 7. Chacun de ces problèmes sont par essence opérationnels et présentent des facteurs flagrants d'intelligence. 8. d'un point de vue opérationnel, les actions suivantes sont requises: a. Des actions immédiates devraient être prises afin d'améliorer l'identification autant visuelle qu'électronique des leurres pour que, en cas d'attaque, une identification instantanée et positive d'avions ou missiles ennemis puisse être faite. b. Une étude doit être menée afin de déterminer quelle utilisation, si il en existe, pourrait être donnée par les organisateurs américains d'une guerre psychologique à partir de ces phénomènes et quelles défenses, si il en existe, devraient être organisées afin d'anticiper des éventuelles tentatives soviétiques d'utilisation de ces phénomènes. c. Afin de minimiser le risque de panique, une politique nationale devrait être établie concernant ce qui devait être dit au public à propos de ces phénomènes. 9. d'autres problèmes de renseignements qui requièrent approfondissement: a. Le niveau actuelle de connaissance des soviétiques à propos de ces phénomènes. b. Des possibles intentions et capacités des soviétiques d'utiliser ces phénomènes au dépend des intérêts américains. c. La raison du silence dans la presse soviétique concernant les soucoupes volantes. 10. Une recherche supplémentaire, différente de celle menée par l'Air Force en ce qui concerne son sens et sa particularité, sera nécessaire afin de satisfaire les besoins opérationnels et de renseignements. Les responsabilités de l'Intelligence, dans cette enquête concernant le rassemblement et l'analyse des faits, ne pourront être déchargées qu'après avoir déterminé d'une manière exacte la nature des phénomènes. 11. Je considère ce problème d'une telle importance qu'il devrait être mentionné au Conseil National de Sécurité afin qu'une action à travers tous les membres de la communauté soit entreprise. Signé E. MARSHALL CHADWELL - Assistant du Directeur de la Scientific Intelligence |